Lancée le 11 janvier 2013 au Mali, l’intervention militaire française destinée à combattre les groupes armés djihadistes (GAD) s’est avérée être un échec. Si elle a initialement permis de repousser les GAD qui menaçaient Bamako avant de s’étendre à cinq Etats rejoignant la lutte antiterroriste au sein du G5-Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad), ses objectifs finaux, limiter l’action des GAD et restaurer l’autorité et la puissance militaires des Etats sahéliens, n’ont pas été atteints.
Par François Gire, Etudiant en Master d’histoire militaire à l’université de Potsdam
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